MANGA : LIAR GAME, tomes 1 à 6 (série en cours)

Par Shinobu Kaitani. Tonkam, 7,95 €

« Endettement, dépendance, isolement. Jouer comporte des risques pour vous et vos proches. » Surtout si vous découvrez un beau matin dans votre boîte aux lettres un pli annonçant que vous avez gagné 100 millions de yens au Liar Game ! Tout comme notre naïve héroïne Nao Kanzaki, vous pensez qu’appeler un avocat pour vous conseiller est une bonne idée. Erreur…

Car, par un ingénieux tour de passe-passe, le dit avocat est dans le coup. Quoi de mieux alors, pour arnaquer un arnaqueur, qu’un autre arnaqueur, et le meilleur qui soit, tout frais sorti de prison : Akiyama. Embarqués dans un incroyable jeu de piste, où chaque joueur risque de s’endetter à vie, nos deux complices vont tout faire pour sortir d’épreuves aussi inattendues que démoniaques !

Tel est le point de départ de Liar Game, un thriller parsemé d’énigmes, pour lequel logique et manipulation sont les maîtres mots. Qui se cache derrière ce jeu? Comment se sortir d’épreuves aussi insolites que celle d’un jeu de votes où seule l’emporte… la minorité? Autant de questions qui mettront à rude épreuve les nerfs et le sens de l’observation du lecteur, dans un récit où la moindre ligne de dialogue anodine peut revêtir une importance capitale par la suite.

Desservi par un graphisme un peu trop raide, Liar Game est cependant un excellent manga à suspense, aux coups de théâtres aussi surprenants que finalement logiques, pour peu que le lecteur ne relâche jamais son attention… Jamais.

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MECANO : MON PREMIER "WORK IN PROGRESS" De A à Z !

La plupart des making of que je montre ici et ailleurs sur le net ne dévoilent qu'une partie du travail que j'effectue sur un dessin.
Par exemple, je montre le croquis finalisé d'une illustration où une case de BD, puis sa mise au propre à l'encre, et enfin ses phases de mises en couleurs. Pour la première fois, je vais montrer ici les différentes étapes du dessin en lui-même, des tous premiers coups de crayon au produit finalisé et encré.

Enjoy ^0^





Je vais vous révéler un secret :
"Vos mains sont connes !"

Ce que je veux dire par là, c'est qu'elles ne sont pourvues d'aucuns cerveaux,
et encore moins de fibres créatrices. Pourtant, nombreux sont ceux qui
laissent leurs crayons voguer sur les blanches feuilles, priant
inconsciemment que l'inspiration divine les guident...
Parfois cela marche... Mais la plupart du temps : Non ^0^

La toute première chose à retenir est donc d'avoir une idée avant même
de poser son crayon sur la feuille ! Il faut accepter l'idée de perdre du temps
en amont... pour en gagner en aval. Car nous autres, dessineux, sommes
toujours trop pressés ! Notre rêve serait d'avoir une prise USB reliant notre
cerveau à une imprimante, et hop ! Peut-être d'ici quelques années, qui sait ?

mais en attendant, nous devons
nous contenter de nos mimines ^^
Donc, voici déjà un croquis
de départ d'une idée simple :
Une mécano sexy, mignonne et mutine ^0^


La première ébauche et toujours très grossière.
Mais elle vous donne la direction de votre idée.
Et surtout, elle annihile la peur de la feuille blanche,
sans repères, sans guides.



Certains dessinent détails par détails, d'autres dessinent
l'ensemble d'un dessin. Il n'y à, à mon sens,
pas de "bonne méthode", juste celle qui vous mettra
à l'aise, tout en assurant votre efficacité.

Par exemple, en mathématique : 2+2=4
On ne vous demande pas votre avis, vous devez juste
apprendre ça par cœur, et c'est tout.
Mais en "art", 2+2=... ce que vous voulez !
Des milliards de possibilités s'offrent à vous
pour arriver à un résultat qui ne sera pas "vrai",
telle une réponse ultime qui mettra tout le monde
d'accord. Non, vous arriverez à un résultat
qui en dehors de vos compétences techniques en matière
de dessin brut (anatomie, proportions, perspective, etc...)
plaira où non à celui qui regardera votre œuvre.
Et dans ce cas, qui à "raison où tord" ?

Après tout dans les années 80 à 90, nombreux étaient
ceux clamant que le style manga dit "académique" était laid.
Aujourd'hui, il s'agit d'une référence en terme de pop culture !
Idem, en prenant par exemple, la peinture Impressionniste
qui était vilipendée à son époque, et qui aujourd'hui est
une période clé de l'histoire de l'art occidentale du 19ème Siècle.

Comment "juger" impartialement alors une œuvre ?
La technique? L'époque de son contexte de réalisation ?
La mode ? L'émotion forcément subjective s'en dégageant ?
Franchement, je n'en sais rien.

Je me contente de faire de mon mieux.
Et c'est déjà pas mal, non ? ^0^


Je commence à m'attarder sur certains détails,
comme ceux composant le costume. l'idée
est de faire une sorte de salopette futuriste
mais sexy (et pas vulgaire ^^)


Certains aiment à pousser les croquis à fond,
personnellement, j'aime laisser l'encrage compléter
spontanément les endroits imprécis. Par contre,
je n'encre pas un ensemble, mais éléments par éléments.
J'ai également rajouté des lunettes au dernier moment, afin
de donner un petit côté intello à mon mécano ^^


Entre le short et les cuissardes, j'ai rajouté un tissu
"molletonné", car laisser les cuisses à l'air m'a semblé
au final un poil trop osé. Le personnage est une jeunette
après tout, donc : mollo ! ^^

Regardez également les différences entres le croquis et
le final encré, comme par exemple l'avant bras à droite
du dessin, les pochettes de la ceinture, etc... Certains détails
ne viennent qu'au moment de l'encrage donc.
Le but est que ce dernier ne soit pas qu'une simple exécution,
mais aussi un exercice spontané de création ^^


A ce moment du dessin, je crée rapidement sur Photoshop
un engrenage aux formes régulières, et qui va m'aider
pour l'élément de décor du fond. Une fois finalisé,
je l'imprime et le décalque.


L'encrage est fini ! L’engrenage est posé et encré
de façon à ce qu'il soit régulier, mais avec une patte "humaine"
(le fait qu'il soit abîmé + les hachures aident en ce sens ^^)
Enfin, vous l'avez peut-être remarqué, j'ai également changé
au dernier moment l'orientation de la grosse clé que tient le
personnage. En effet, dans la pose de départ, sa perspective
ne collait pas avec le personnage...


Un petit réajustement des niveaux des blancs
et des noirs, et le dessin est fini...
Peut-être pour une version couleurs à venir ??? ^0^

Et voilà ^^

POST EXPRESS : VEUILLEZ NOUS EXCUSER POUR LA GENE OCCASIONNEE ^^

Certains l'ont peut-être remarqués, mais depuis quelques temps, la section "IMAGES D'AILLEURS" ne fonctionne pas très bien. Pour une raison que j'ignore, je n'arrive plus à uploader un diaporama correctement (liens cassés, dossier introuvables, etc...).
J'ai tout essayé tant bien que mal (enfin mal surtout ^__^;). Donc au bout d'un moment, j'ai décidé de revenir à l'ancienne formule, à savoir une image unique et à mon sens, représentative de l'auteur(e) du moment, à découvrir. Surtout que maintenant, il y aura toujours un lien pour vous renvoyer au travail du dit artiste (galerie en ligne, facebook, blog, etc...).
Il ne me reste plus qu'à corriger l'intitulé de la section, et la remettre... au singulier ^0^

Bonne(s) visite(s) !

POST EXPRESS : MANGA.JUVISY.NET

"Petite news express de dernière minute au cas où qu'il faut prévenir parce que bon" pour signaler que je serais sans doutes samedi après midi au premier salon "manga" de Juvisy. Un évènement pour lequel j'ai fourni un de mes dessins pour l'affiche ^^

Renseignements : http://www.manga.juvisy.net/

MANGA : BRIDE STORIES - Tome 1

Par Kaoru Mori. Ki-oon, 7,50 €, 3 volumes dispos. (série en cours)

Lorsque l’on parle de mangas à des non-initiés, on évoque souvent des histoires fantastiques, pleines d’esprits frappeurs, de super-héros vengeurs, de robots géants, voire des drames sociaux et urbains pour ceux qui poussent un peu plus loin que les clichés habituels. Et puis, il y a les outsiders, ces auteurs qui sortent des sentiers battus, mais qui n’oublient pas pour autant de rester aussi originaux qu’accessibles (et non pas pseudo « auteurisants » élitistes).

C’est le cas de Kaoru Mori, qui tenta en 2002 une expérience singulière avec son romanesque Emma (disponible chez Kurokawa), une histoire d’amour impossible entre une servante et un noble jeune homme dans l’Angleterre de la révolution industrielle. Ses points forts sont alors une reconstitution minutieuse, quasi-maniaque, du contexte historique et social de cette époque, ainsi que des personnages aussi forts qu’attachants.

Son goût pour les histoires « exotiques » la pousse aujourd’hui dans l’Asie centrale du XIXe siècle, pour nous conter l’insolite union entre Amir, une jeune femme de 20 ans, et le tout jeune Karluk, âgé d’à peine… 12 ans ! De leur mariage, c’est la paix entre deux clans rivaux qui doit découler. Petit à petit, nos deux tourtereaux vont apprendre à se connaître, à s’apprécier sur cette terre rude et si vaste. Mais hélas, le clan d’Amir décide de couper court au bonheur du jeune couple, afin de sceller une autre union plus avantageuse. Une seule solution : reprendre Amir coûte que coûte !

Dès les premières cases, le style de Kaoru Mori éblouit le lecteur par le foisonnement des détails sur les costumes, les étoffes, les moindres ornements des portes et fenêtres. Bride Stories devient alors un magnifique et luxueux écrin pour cette histoire romanesque, dans laquelle l’auteur réussit même à caser quelques notes d’humour typiquement nippon sans dénaturer sa reconstitution minutieuse. Des yourtes aux grandes plaines, le lecteur est littéralement transporté dans une sorte de documentaire épique où les moments intimistes auprès d’un sculpteur sur bois s’enchaînent aux longues chevauchées d’une amazone nommée Amir. Un classique en devenir en somme.

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MORE THAN 100.000 VIEWS ^0^

Ca y est, la barre"mythique" des 100.000 visites

à été franchie par KARAFACTORY VOICES !

Un grand merci à vous tous : fidèles lecteurs, passants qui passent, curieux de passage, fan de japanime où de cinéma, furtifs du soir où de la pause déjeuner, amateurs de grandes gueules ^0^, graphistes en herbe, collègues, amis, copains, ronchons, et tant d'autres qui contribuent à la vie de ce blog !

J'en profite ainsi pour vous montrer les 3 dessins originaux qui seront en vente à partir d'aujourd'hui, lundi 19 mars 2012, à la médiathèque Albert Camus à Chilly Mazarin, lors d'une petite exposition réunissant quelques uns de mes travaux.

Celle-ci se conclura par une journée d'ateliers le 31 mars 2012
où j'espère, vous, toi, lui, elle, l'internaute de passage
qui lisent ces lignes seront présents ^0^ !

A bientôt ! ^0^

JEAN GIRAUD / MOEBIUS - SALE TEMPS POUR LES GENIES...

Photo archives Dominique Bordier. - La Nouvelle République.fr

On vit une drôle de période en ce moment.. enfin drôle n'est pas vraiment le mot mais bon. Un autre Dieu vivant de la BD mondiale nous à quitté hier, le 10 mars 2012, à savoir Jean Giraud / Moebius. Dire que son influence à été colossale dans le monde même du graphisme est un doux euphémisme. Du comics US en passant même par de célèbres réalisateurs nippons, Moebius à crée un style, une méthode, un univers unique, inclassable, voir intemporel.
Dresser la liste de ses œuvres personnelles, celles auxquelles il à participé en tant que concepteur où designer, serait trop long. Je préfère alors vous conter mes deux dernières rencontres avec ce grand monsieur. Deux rencontres qui m'ont laissées toutes deux des sentiments très partagées...

L'avant dernière fois que j'ai brièvement croisé Jean Giraud était lors d'une exposition lui étant consacrée à La Monnaie de Paris en 2005, aux côtés du réalisateur japonais Hayao Miyazaki. Etudes, croquis, esquisses, une véritable caverne d'Ali Baba pour tous graphistes en herbe où simple amateur d'art. Mais l'envers du décor était hélas moins beau. Quand on se penchait sur les légendes des dessins de Miyazaki, on pouvait lire des textes du genre : "Étude pour le projet Machin, sorti en 19...". Et quand on lisait les légendes des dessins de Jean Giraud, on y découvrait des textes du genre : "Etude pour le projet Machin, abandonné."
Et ça, ça m'a foutu le cafard pour un bout de temps. Moebius aurait pus être le premier réalisateur d'un long métrage en 3D en 1992, et dont le pilote est encore visible sur le net : STARWATCHER. Mais il ne trouva jamais le financement, et ce fut finalement TOY STORY qui le coiffa au poteau. Encore une dizaine d'années plus tôt, il participa à un ambitieux dessin animé de SF adulte bien en avance sur les Japonais dans les années 80, en terme de design pur : LES MAITRES DU TEMPS. Mais après ? Rien... La pop culture nippone s'est épanouie mais toujours en reconnaissant l'influence de ce génie, ce qui est déjà bien. L'influence de Moebius s'est ensuite poursuivie dans la BD française, certes, mais elle aurait pus apporter tellement plus à notre cinéma de genre, notre industrie naissante du jeu vidéo, notre littérature, etc...
Cet homme était un génie un France, mais il était un Dieu dans le monde de la pop culture mondiale.

Enfin, la dernière fois que j'ai croisé Moebius fut en 2008, lors de l'inauguration de l'attraction étant consacrée à son univers graphique au Futuroscope de Poitier... aux côtés de Gérad Majax ! Tous deux s'étaient alors associés à la fabrication d'un parcours jouant sur les illusions d'optique au cœur de décors directement tirés de fabuleux univers de SF décalés. Difficile de vous décrire en quoi consistait cette attraction sans tomber dans la défloration de la surprise qui attendait le visiteur téméraire. Je ne peux que vous inviter à le découvrir par vous-même lors de votre prochaine visite à ce parc touristique, qui me fit découvrir ce qu'était le vrai cinéma 3D... 15 ans avant Avatar !
Au final, durant cette inauguration, j'ai croisé deux grands gamins, deux bricoleurs qui dans leurs domaines furent des précurseurs, et le fait de les associer était une idée aussi rigolote que réussie, et démontrant que malgré les années qui passent, et les cheveux gris, on reste toujours quelque part un inventeur d'univers ayant pour doctrine : "une passion non partagée, n'est pas une passion".

Chapeau l'Artiste !

POST EXPRESS : FERMETURE DE LA GALLERY

Certains d'entre vous le savent déjà, mais hélas, LA GALLERY où j'ai mis en vente certains de mes originaux, à fermé récemment. Ce sont des choses qui arrivent hélas... Ayant pus récupérer tous mes petits trésors, ceux-ci ne resteront pas de nouveau coincés dans un carton. Il se peut même que je me mettes à les vendre DIRECTEMENT à mes lecteurs lors de prochaines séances de dédicaces. En ce sens, si vous êtes intéressés, n'hésitez pas à me voir durant les prochaines rencontres auxquelles je serais conviés afin de voir ce qu'il y aura de disponible à ces moments là (attention, selon la praticité de la rencontre, du lieu, du temps, je verrais ce que je peux amener où pas).
Mais, d'ors et déjà, je vous annonce qu'au moins 3 dessins totalement inédits seront à la vente lors de ma journée d'ateliers à Chilly Mazarin, le 31 mars 2012 (cf mon agenda pour les détails). Mais il se peut que je me ramène aussi avec quelques petites choses en plus. Par contre, il s'agira peut-être de dessins édités, et donc à des prix autres que mes petits A4 habituels et accessibles aux petites bourses. Rassurez-vous, je saurais être "raisonnable"^0^

Bien entendu, les 3 dessins sus-mentionnés seront publiés d'ici là, et avec même pour la première fois, un vrai work in progress pour l'un d'eux !

Restez connectés ^^

MANGA : NURA, LE SEIGNEUR DES YOKAÏ, tome 1 à 3

Par Hiroshi Shiibashi. Kana, 6,75 €

Avec ses milliers de dieux, d’esprits et de fantômes, le bestiaire mythologique nippon est une source d’inspiration sans fin pour les auteurs de mangas. Quitte parfois à perdre en route le lecteur occidental, peu informé sur le sujet. Nura est alors le titre idéal pour se familiariser avec cet univers riche, tout en s’amusant des aventures rocambolesques du jeune apprenti yokaï Rikuo.

Le yokaï est un esprit, une créature fantastique issue du folklore médiéval nippon. Rikuo Nura est ainsi le descendant d’un des plus puissants yokaï du Japon, avec sous ses ordres une véritable armée magique. Seulement, Rikuo ne possède qu’un quart de sang yokaï. Il partage donc sa vie entre ses journées de banal étudiant aspirant à la tranquillité, et ses escapades nocturnes en tant que futur général d’une armée encore hésitante à obéir à un chef légèrement… schizophrène !

Véritable auberge espagnole de personnages hauts en couleurs et s’inscrivant dans une encyclopédie de « véritables » yokaïs, Nura appartient au genre du shônen manga. Un style propice à la quête de soi, dont le héros apprend et mûrit au fil d’aventures toujours plus spectaculaires, tout en explorant ses sentiments, doutes, espoirs et peurs, ainsi que sa relation avec de drôles d’amis prêt à l’accompagner (parfois malgré eux) dans ses péripéties. Cette série où l’on voit un jeune garçon évoluer dans une maison « hantée » par tout un bestiaire à son service possède un air de comédie de boulevard, virant à la superproduction bourrée d’effets spéciaux quand l’heure de l’action sonne ! Un titre plaisant, et qui a bénéficié d’une jolie adaptation animée, diffusée sur Internet chez Kazé.

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DEDICACES : DE RETOUR DE VIGNEUX SUR SEINE... 2011 !

Avec une actu et surtout un emploi du temps plutôt chaotique ces derniers temps, il peut m'arriver d'oublier de mettre ligne une séance de dédicaces vieille de plusieurs mois déjà ^___^;
C'est ainsi le cas pour la séance de dédicaces qui eut lieu lors du 10ème Édition du Festival BD et Livres de Jeunesse de Vigneux sur Seine. Celle-ci s'est tenue du 19 au 20 novembre 2011. Signalons que l'affiche à été réalisé par le célèbre Franck Margerin, que je n'avais pas croisé depuis notre voyage en Arménie en 2008 ! Sans plus attendre, voici donc le petit florilège habituel ^0^

Petite note finale, le festival de BD encadrait aussi toute une série d'ateliers faisant rencontrer un large public scolaire avec quelques professionnels de la BD. Je participa donc à cette activité avec un atelier BD au sein du Collège Henri Wallon, et ayant pour thème : Les Fables de Jean de La Fontaine. Un exercice ludique pour un résultat qui montra quelques talents prometteurs ^^

A suivre... ^^