samedi 29 octobre 2016

BRAVE AMIDALA



Commande pour un client Belge qui fait partie de l'organisation de FACTS, le Comicon Belge.
Pour le coup, il avait bien aimé mon Amidala "mangaïfié", et je lui en ai fait une autre (la première étant partie depuis belle lurette).
Cette fois, je la voulais "en action" et pas juste en train de poser fièrement.

mercredi 26 octobre 2016

-THE WITCH FROM EVERYWHERE- HAPPY HALLOWEEN 2016 !





Pour cet Halloween, je continue dans "la bonne humeur" en rajoutant une touche de poésie. Issue de nulle part et de partout à la fois, voici une petite sorcière qui voyage d'univers en univers, accompagné de son bâton chat Schrödinger ^^
D’habitude je teste des techniques peu habituelles pour mon style comme la peinture numérique. Mais cette fois, j'ai préféré assurer ^0^
Happy Halloween again !

mardi 25 octobre 2016

TEEN NINJA

 
 
Just for the fun. Je voulais m'amuser avec des
"ombres comics" pour les fringues.

lundi 24 octobre 2016

SLAVE LEIA - EX LIBRIS IN COLORS !



Cette version colorée existe en fait depuis des semaines ! Pourquoi ne la poster que le lendemain du Comicon Blege FACTS 2016 ou celle-ci était disponible ? Et bien pour éviter les possibles contrefaçons !
En effet, cet ex-libris n'a pas servi qu'a être un joli collector, mais aussi et surtout : Lorsque l'équipe du salon à vu la version Noire et blanche de ce dessin, ils m'ont demandé si je pouvais la mettre en couleurs... pour servir d'illustration aux pass VIP, GUEST, et autres badges du salon ! ^^
Donc pour éviter qu'on imprime le dessin et qu'on trafique des faux badges, on m'a demandé d'attendre la fin du salon pour vous montrer le résultat final ^0^
Hope you like it ^^


vendredi 21 octobre 2016

VIRTUAL REVOLUTION - LE "BLADE RUNNER" FRANÇAIS ?

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Résumé : À Paris, en 2047, alors que la population vit connectée en permanence à des mondes virtuels, un agent employé par une multinationale est chargé de traquer des terroristes menaçant le système.

VR est un film doublement militant.
Militant de par son propos, ses thématiques, et surtout son analyse sans concessions d’un monde fortement possible dans les années à venir. Et militant de par le fait d’être un film de science fiction français dans un paysage cinématographique se méfiant du genre en lui-même.
On le dit fortement sous influence de la science fiction américaine (Blade Runner en tête). Mais comment peut-il en être autrement ? La Nouvelle Vague, même si elle partait d’un bon sentiment, a étouffé le cinéma populaire français. Même si le genre a connu quelques soubresauts salutaires jusque dans les années 80 (merci à Alain Delon et Jean Paul Belmondo), on peut dire que celui-ci attend depuis belle lurette sa résurrection ! Certes Chrysalis fut une belle tentative, mais ne parvint pas à réveiller le Phoenix endormi. Rendez-vous compte que le cinéma de genre américain ou encore l’animation nippone n’a pas connu sa maturité avant plusieurs années d’expérimentations. Il est donc malvenu de demander au cinéma de genre français de rattraper un demi siècle de sommeil (de retard ?) en un seul et unique film. Il est déjà miraculeux de voir qu’en un seul métrage, le réalisateur Guy-Roger Duvert a réussi à assimiler l’ensemble de ses influences en un tout cohérent !

De par sa forme, VR est un miracle en soit ! Lorsque le producteur Olivier Biercewicz montre le film à des gens de la profession, on lui dit que le film est de bonne facture pour un visuel estimé à 10-12 millions d’euros. Seulement, VR n’a coûté en réalité que … 1 million d'euros (approximativement) - soit à peine le budget d’un demi épisode TV des Experts Miami) ! Toute l’équipe a été rémunérée et même si certains salaires ont étés négociés au plus bas ; même en payant tout ce beau monde « pleine pot », le coût global n’aurait pas excédé 1,5 million d’euros ! Mieux : dans son optique militante, le film a été sciemment tourné en France, alors qu’un tournage en Nouvelle Zélande un temps envisagé, aurait encore abaissé son coût !
Mais alors, avec une somme aussi « ridicule », quel résultat donne un film de SF français sur l’écran ? Et bien une œuvre étonnamment généreuse dans son visuel ! Une flopée de décors numériques vient agrandir un film aux décors réels certes modestes mais variés, et clairement bien exploités. Les scènes d’action sont bien entendu d’une ampleur modeste, mais elles sont nombreuses, lisibles, parfois épiques et voir même sexy (merci à l’actrice Petra Silander) !
Au rayon des imperfections inévitables, l’on citera des dialogues très descriptifs et visant clairement le « grand public ». En gros : VR se veut accessible et prends la main du spectateur lambda… Alors que le spectateur geek attend depuis de longues minutes la suite d’un récit qu’il a déjà compris jusque ici. On pardonnera cet excès de zèle narratif grâce au jeu de comédiens impliqués et indubitablement habités par leurs rôles respectifs. En soit, il est clair que le scénario du film ne tient que sur une petite heure (scènes d’action incluses). Mais grâce à ces « rallonges » certes compréhensibles mais un peu redondantes, on atteint l’heure trente réglementaire pour le qualificatif de long métrage.

Car au final, que racontes VR ? Celui-ci décrit un monde ou la majeure partie de la population est connectée de son plein gré à des mondes virtuels bien plus beaux et passionnants qu’une réalité laissé à l’abandon, sale, décrépie, voir même… condamnée. Car peu importe ce qui est réel, ce qui est irréel : l’important reste l’expérience de vivre une vie épanouie, riche, ou seule la réalité de ses souvenirs compte !
Et c’est là que VR passe de bonne petite série B, à œuvre de science fiction ambitieuse et surtout « couillue ». VR pose de nombreuses questions, mais n’y réponds pas toujours. Non pas par paresse, mais parce que les réponses n’existent pas encore de son point de vue. Et surtout : veux t’on connaître les réponses à ces questions qui touchent notre morale ? La ou certains clament qu’il vaut mieux un malheur réel qu’un bonheur virtuel, VR installe le doute et pose des enjeux moralement douteux, mais terriblement humains au final ! Et sans spoiler, le final laissera plus d’un spectateur dubitatif, dans le bon sens du terme. Certains disent que la communauté des joueurs pourrait se sentir avilie, mais l’on parle ici avant tout d’instinct humain, de problèmes de société ou la remise en question du réel n’a plus lieu d’être. Car comme le film le dit : La Révolution a déjà eut lieu… Mais au final, tout le monde s’en fout, et surtout, en veux t’on une deuxième ? Il ne s’agit pas de critiquer le monde actuel du gaming… mais d’analyser une possible évolution à plus ou moins court terme ! Et là encore, le film ne se pose pas en juge moralisateur, il se contente de poser des questions qui dérangent, et engendrant encore une fois la frustration de ne pas avoir de réponses claires. Des réponses qui ne se soumettent pas à une logique de bien ou de mal, mais qui proposent des visions de choix de vie… et sans que personne ne vous dise si vous prenez ou non la bonne décision. Tout comme en art, il n’y a pas de vérités, mais seulement des choix à assumer !

Ainsi Virtual Revolution est de MON point de vue, LE Blade Runner français ! Personne ne peut dire s’il deviendra un film culte, une curiosité de vidéothèque, un film incompris et oublié, une simple série B de plus, mais l’essentiel est déjà là : Il EXISTE réellement !
Virtual Revolution est un film doublement militant. A vous de choisir d’y ajouter votre acte militant en allant le voir, en le soutenant, en le plébiscitant, en montrant que le cinéma de genre français existe… réellement !


vendredi 7 octobre 2016

PINTEREST 5000 - croquis et encrage


Pour fêter mes 5000 abonnés à mon compte Pinterest
voici un petit dessin qui, pour le moment,
attends sagement d'être mis en couleurs !
À suivre ^0^