lundi 29 mai 2023
Second essai de 3D/GRAYSCALE to COLOR
dimanche 28 mai 2023
LES CHEVALIERS DU [Z]ODIAQUE – LES X-MEN LOW COST !
Quelle est la différence entre le navet et le nanar ? Le navet est un film consternant, alors que le nanar est tout aussi consternant, MAIS néanmoins hilarant ! De par ses maladresses, le malaise qu’il inspire sans le faire exprès, ses incohérences absurdes, le nanar est un délicieux paquet de bonbons à partager entres amis hilares. Le film de CD[Z] est-il donc un BON nanar ?
CD[Z] est donc un grand huit émotionnel et visuel qui a au moins l’avantage de piéger l’attention des ses victimes consentantes en salles de cinéma.
-L’acteur incarnant Seiya s’est clairement investit dans son rôle, tout en ayant le physique de son personnage.
-L’actrice incarnant Athéna est juste parfaite lorsque celle-ci revêt tous ses attributs de déesse. Les quelques minutes où elle déchaîne son pouvoir à la fin du film sont véritablement sublimes !
-Des chorégraphies martiales au corps à corps très réussies, originales et bien filmées.
-Le masque de Marine, les armures des méchants, surtout leurs casques.
-… Eeeeeet ce sera tout.
CONTRE :
Je vous laisse digérer les infos.
…
On reprend ?
DONC, et pour résumer : C’EST QUOI LE RAPPORT AVEC SAINT SEIYA ?
Et maintenant la question importante : EST-CE DRÔLE ?
Mais au moins, nous vous rassurons, nous étions hilares !
jeudi 25 mai 2023
KIM CROFT - Cinematic 1.2
lundi 22 mai 2023
GRAYSCALE TO COLOR
Petit exemple de décors en 3D repeint façon "peinture", avec mise en couleurs très (trop) rapide; le tout pour un cours en amphi à l'école Creapole.
Rien de compliqué, mais rigolo à faire et à montrer en exemple pour le principe/méthode.
mardi 16 mai 2023
SŒUR GUNHILD - SŒUR CLOTHILDE
lundi 15 mai 2023
LES GARDIENS DE LA GALAXIE Vol.3 – SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE LE DIABLE
« Je veux en finir avec la malédiction des troisièmes films qui sont les plus mauvais d’une trilogie ! » dixit le réalisateur James Gunn. Et pour le coup, c’est réussi ! Mieux ! Ce volume 3 est peut-être le meilleur film de la franchise ! Après un premier volume jouant sur la surprise d’un film grandiose de loosers magnifiques (et qui fit dire à mon voisin de salle de cinéma : « qu’est-ce qu’ils s’emmerdent avec Star Wars chez Marvel? Ils l’ont là, LEUR Star wars ! »), après un second volume où la surprise n’était plus de mise, voici enfin le volume de la maturité ! Car James Gunn n’est pas qu’un déconneur de talent (voyez Peacemaker !!!), c’est aussi un réalisateur qui sait manier l’émotion avec le passé tragique enfin révélé du raton voleur Rocket. Un passé qui impressionnera si grandement certains spectateurs, que la SPA américaine (PETA : People for the Ethical Treatment of Animals) donnera un prix spécial à ce sale gosse de James.
Car James n’en oublie pas justement la déconne, mais à dose bien plus juste qu’un foutraque Thor 4. Ce dernier appliquant de très mauvaise manière la « méthode Josh Whedon » : à savoir miser sur des dialogues décalés désamorçant toute tension dramatique… le condamnant à un numéro de clown certes fun, mais complètement dérisoire. Dans ce Gardiens de La Galaxie, l’humour tombe toujours à point nommé pour relancer l’intrigue, donner de nouvelles péripéties inattendues, et très peu pour « dédramatiser » une action généreuse, mais porteuse de sens très lourd et tragique.
L’action généreuse justement, le film en affiche à foison avec son budget de 250 millions de dollars ! Et l’argent se voit clairement sur l’écran, aussi bien dans un feu d’artifice fun mais surtout encore une fois dramatique. Car le vrai sale gosse dans cette histoire, c’est l’antagoniste du film. Un savant véritablement fou, ayant une vision bien à lui de la morale… et tant pis pour les dommages collatéraux. Quitte à annihiler des civilisations entières parce que… Bah, parce qu’il le peut !
Ce troisième volume conclut donc la saga avec brio, avec de l’émotion jamais larmoyante, du malaise et de l’empathie devant la souffrance d’êtres déformés par la « science », du gore inattendu même où l’horreur a le visage déformé par la folie, et tout de même beaucoup de fun, d’invention, et des personnages qui trouvent enfin leurs marques, leurs accomplissements au bout de trois films qui les ont (re)construits, tout comme Rocket… Mais cette fois pour le meilleur !
vendredi 12 mai 2023
KIM CROFT - CINEMATIC 1.1
MODEL : KIM BRIGHT
[ https://www.instagram.com/kim_rodriguez188/ ]
CINEMATIC : KARA
[ https://kara.book.fr - https://karafactory.blogspot.com ]
vendredi 5 mai 2023
DONJONS ET DRAGONS [2023], TOUT EST BON DANS LES GENS BONS!
On est dans du divertissement haut de gamme, qui sait faire l'alternance entre action et humour, sans jamais tomber dans le gag lourd Marvelien pour désamorcer une situation à la Josh Whedon ("rien n'est sérieux, on rigole, et on désacralise tout".) Il y a même de l'humour par la référence, suffisamment subtil pour faire rire le spectateur noob en fantasy, mais aussi faire pousser un petit "Eeeeh, pas con!" au rôliste de passage caressé dans le sens noble du poil. On fait plaisir au geek, mais surtout on ne se moque pas de sa passion.
Clairement le film a bénéficié de grands soins au niveau de la direction artistique (on peut avec une enveloppe de 150M$), en mélangeant fantasy inventive façon MMORPG coréen et réalisme quasi historique et plausible (les armures entres autres).
Mes deux seuls regrets seront d'abord un rythme qui prends un peu trop son temps, mais qui installe bien les situations. On notera que pour une fois, les héros ne doivent pas forcément sauver le monde pour la énième fois, mais déjà se sauver eux-mêmes, leurs famille, leurs foyers. Et c'est déjà du boulot!
L'autre point noir me concernant, et qui sera peut-être corrigé avec le support vidéo : la photographie très plate dans certaines scènes, limite téléfilm français (surtout lors de la scène finale, certes trépidante, mais totalement dénuée d'une atmosphère graphique où épique).
Et c'est dommage car le film sait faire parfois de beaux choix esthétiques comme pour les sous-sols volcaniques et son dragon (obèse!), les scènes dans des mondes parallèles où la réalité se déforme en filaments, un plan séquence de poursuite très impressionnant et grandiose, etc. Et parfois donc, surtout lors de l'affrontement finale, on a droit à une image très grise et sans contrastes. C'est dommage, mais c'est peut-être les conditions techniques de ma salle de cinéma qui ont rendus l'image comme ça...
Bref, D&D 2023 est un très bon divertissement qui sait doser tous ses atouts (humour, action, émotion) avec justesse, pour nous donner un spectacle réellement cool et décontracté, mais encore fois fait avec un sérieux et un respect évident non pas pour Donjons et Dragons, mais pour l'heroïc fantasy en elle-même!