Image from deviantartCette phrase, ce n'est pas le "King of Pop" qui l'à dîtes, mais John Ford, le légendaire cinéaste hollywoodien qui signa nombre de westerns classiques...
Au delà des polémiques, de sa vie personnelle sulfureuse, de son déclin, et surtout de son futur chant du cygne au travers de ses derniers concerts Londoniens, il reste une Légende. Son impact restera historique dans la musique (je vous passe la liste de ses records de ventes), mais aussi dans l'acceptation d'une certaine culture noire dans le monde occidental...
Beaux discours me direz-vous, mais qu'en est-il personnellement ? Mourir à 50 ans est une morbide ironie pour moi, un paradoxe glauque pour celui qui passait des heures dans un caisson à oxygène pour limiter les effets du vieillissement, pour celui qui ne voulait pas grandir et rester dans une utopie de jeunesse éternelle. La réalité du monde des adultes est vraiment parfois impitoyable. Comme vient de le déclarer le nouveau ministre de la culture, Frédéric Mitterand, "c'est parfois le prix à payer pour ces artistes, ces stars qui se donnent à leur art dévorant."
Michael, c'est une part de mon identité culturelle. Je ne possède aucuns de ses albums pourtant. (à part un vieux vinyle fatigué et usé de Thriller ^^) Ces chansons sont quasiment toutes encrées en moi. Je pense qu'en ce moment, nous avons besoin de forts symboles, de belles légendes pour tenir le coup dans ce monde de dingues (que nous avons nous-même construit et accepté avec fatalisme. Où quand l'homme aime être maso...). L'histoire se chargera de juger si cette légende doit-être salie où non. Pour ma part, je me contenterais en simple fan de base de suivre le conseil de John : garder dans ma tête cette belle part de mon enfance, de rêves offert par ce Peter Pan qui semble s'être définitivement envolé vers un hypothétique Neverland... En espérant que celui-ci ne croise pas un Captaine Crochet de passage...
Au delà des polémiques, de sa vie personnelle sulfureuse, de son déclin, et surtout de son futur chant du cygne au travers de ses derniers concerts Londoniens, il reste une Légende. Son impact restera historique dans la musique (je vous passe la liste de ses records de ventes), mais aussi dans l'acceptation d'une certaine culture noire dans le monde occidental...
Beaux discours me direz-vous, mais qu'en est-il personnellement ? Mourir à 50 ans est une morbide ironie pour moi, un paradoxe glauque pour celui qui passait des heures dans un caisson à oxygène pour limiter les effets du vieillissement, pour celui qui ne voulait pas grandir et rester dans une utopie de jeunesse éternelle. La réalité du monde des adultes est vraiment parfois impitoyable. Comme vient de le déclarer le nouveau ministre de la culture, Frédéric Mitterand, "c'est parfois le prix à payer pour ces artistes, ces stars qui se donnent à leur art dévorant."
Michael, c'est une part de mon identité culturelle. Je ne possède aucuns de ses albums pourtant. (à part un vieux vinyle fatigué et usé de Thriller ^^) Ces chansons sont quasiment toutes encrées en moi. Je pense qu'en ce moment, nous avons besoin de forts symboles, de belles légendes pour tenir le coup dans ce monde de dingues (que nous avons nous-même construit et accepté avec fatalisme. Où quand l'homme aime être maso...). L'histoire se chargera de juger si cette légende doit-être salie où non. Pour ma part, je me contenterais en simple fan de base de suivre le conseil de John : garder dans ma tête cette belle part de mon enfance, de rêves offert par ce Peter Pan qui semble s'être définitivement envolé vers un hypothétique Neverland... En espérant que celui-ci ne croise pas un Captaine Crochet de passage...
"Salut l'artiste !" comme on dit en France...
4 commentaires :
Clap clap clap,
bravo pour cet article kara
Merci.
C'est pas grand chose et puis j'avais envie d'apporter ma petite pierre à l'édifice quoi...
Hello maître. Merci beaucoup pour le temps accordé lors du festival et pour mes 2 dédicaces dont celle de la sirène que je ne me lasse pas de regarder. Je me rapelle la 1ere dédicace que tu m'as faite il y a plus d'un an, j'étais terrorisé (un peu exagéré ok)car tu as une personnalité assez forte et intimidante. Depuis j'ai persisté et j'apprécie vraiment ces moments d'échanges. Bone continuation et à très bientôt.
De rien et à une prochaine ^^
La prochaine fois, promis, je range mon râtelier et mes poings américains ^^
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