vendredi 28 avril 2017
jeudi 27 avril 2017
EXERCICE D'ENCRAGE
Démonstration d'encrage en style "comics"
à l'école Jean Trubert, ce matin Jeudi 27 Avril 2017 ^^
- À partir d'un croquis de l'artiste LOISH -
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dimanche 23 avril 2017
SECOND COSPLAY À PASSER SUR DAILY COSPLAY !!
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COQUINES ET CALINES DEDICACES !
De retour de la Ferté sous Jouarre ou ma foi
le public était chaud... et chaud !
le public était chaud... et chaud !
Petites sélection de dédicaces parfois coquines
pour un été précoce, dira t'on.
pour un été précoce, dira t'on.
Et en haute définition - 16 M de pixels !
vendredi 21 avril 2017
mercredi 19 avril 2017
lundi 17 avril 2017
JOYEUSE PAQUES - HAPPY EASTER 2017 !
C'est fou comme un regard peut tout changer. Jusqu'au dernier moment, la bunny girl regardait devant elle, ce qui lui donnait un air un peu... ahuri, on va dire (OK, nunuche et plus approprié). Le fait de retourner son regard vers le lapin qui pose la question lui fait presque dire "Eh, tu veux dire quoi par là, coquin ,?!"
Quoi, c'est pas les yeux que vous regardez ?
Ah.
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jeudi 13 avril 2017
mercredi 12 avril 2017
GHOST IN THE SHELL, VERSION LIVE - "LE CYBERPUNK NOSTALGIQUE"
Fan film ? Film hommage ? film hybride ? Film passionné mais maladroit ? Du coeur à l'ouvrage à défaut d'âme ? Une bonne petite série B ayant sa propre identité ? Trahison du manga, vénération du film animé de 1995 ? Objet maudit par des fanboys ne supportant pas que leurs pairs ayant crachés sur l'animation nippone, se prennent "d'affection" pour leur jardin secret désormais démocratisé ?
Un peu de tout cela, mais pas que...
RÉSUMÉ (Allocine.fr) - "Dans un futur proche, le Major est unique en son genre: humaine sauvée
d’un terrible accident, son corps aux capacités cybernétiques lui permet
de lutter contre les plus dangereux criminels. Face à une menace d’un
nouveau genre qui permet de pirater et de contrôler les esprits, le
Major est la seule à pouvoir la combattre. Alors qu’elle s’apprête à
affronter ce nouvel ennemi, elle découvre qu’on lui a menti : sa vie n’a
pas été sauvée, on la lui a volée. Rien ne l’arrêtera pour comprendre
son passé, trouver les responsables et les empêcher de recommencer avec
d’autres."
Projet risqué et condamné par avance selon certains de par la nature du projet, GITS live avait tout de l'objet née maudit : S'il était trop éloigné du film, on l'accuserait de ne pas être du "vrai" GITS. S'il s'en rapprochait trop, on lui reprocherait son manque d'imagination, d'audace, et pire - de ne pas apporter sa pierre à l'édifice ! Un édifice colossal dans la pop culture mondiale, et qui à posé la question de la vulgarisation du propos philosophique du film de 1995. Film d'ailleurs très éloigné du manga original, mais ça aujourd'hui, tout le monde s'en fiche, car ayant l'excuse d'avoir justement apporté SA pierre à l'édifice sus-mentionné.
Vulgariser donc, mais jusqu'où ? Un propos philosophique n'est pas qu'une question d'intelligence, mais aussi une question de culture générale sur un sujet. Ici donc on parle de robotique, d'intelligence artificielle, de cyberpunk, d'univers de SF référencés et digérés dans un inconscient collectif MAIS initié. D'un côté, les fans de la première heure disent que GITS live est trop simplifié, alors que certaines critiques issues du grand public disent qu'elles n'ont rien compris ! Qui a tord ou raison ? Faut-il forcément être un fan érudit de SF et de cyberpunk pour comprendre, ou tout simplement aimer GITS live ?
C'est un peu le problème que j'ai eu avec Avatar. Un film porté aux nues par le grand public (sa principale cible), mais que j'ai personnellement moyennement apprécié, car étant pour moi : un film de SF des années 80 avec des FX de 2010. Pas mauvais en soi, voir même plutôt réussi (surtout dans sa version Édition Spéciale), mais en aucuns cas une pseudo révolution me concernant. Idem lorsque j'ai vu Interstellar. Plutôt bien raconté comme film, mais vu et revu pour ma part depuis des décennies. Alors finalement ce GITS live ne serait-il qu'un luxueux "marchepied"pour le grand public, afin que celui-ci s'intéresse d'avantage à la SF ou même à culture geek en général (sachant que ce dernier terme englobe finalement un univers très vaste et fourre tout pour certains) ?
GITS live essaye alors de mettre en place ses propres interrogations. Là ou le film de 1995 s'interrogeait sur la conscience de soi des machines, le film de 2017 s'interroge sur le trans-humanisme. C'est un peu plus "terre à terre", et forcément moins philosophique, moins "rêveur". Lorsque la suite du premier dessin animé est sorti en 2004 - Innocence - un journaliste avait posé les questions suivantes : "ne sommes-nous pas arrivés à la limite de ce que l'esprit humain peut envisager pour notre futur ? GITS a t'il exploré toutes possibilités que nous offre la science actuelle pour nous projeter dans des oeuvres de SF ? Doit t'on alors attendre un certain temps avant d'avoir de nouvelles idées ?" Le film live de GITS tente d'apporter au moins une réponse en parlant donc de transhumanisme. Un sujet certes peut être moins vendeur et "honorable" que son homologue de 1995, mais au moins tente t'il le coup.
GITS live essaye alors de mettre en place ses propres interrogations. Là ou le film de 1995 s'interrogeait sur la conscience de soi des machines, le film de 2017 s'interroge sur le trans-humanisme. C'est un peu plus "terre à terre", et forcément moins philosophique, moins "rêveur". Lorsque la suite du premier dessin animé est sorti en 2004 - Innocence - un journaliste avait posé les questions suivantes : "ne sommes-nous pas arrivés à la limite de ce que l'esprit humain peut envisager pour notre futur ? GITS a t'il exploré toutes possibilités que nous offre la science actuelle pour nous projeter dans des oeuvres de SF ? Doit t'on alors attendre un certain temps avant d'avoir de nouvelles idées ?" Le film live de GITS tente d'apporter au moins une réponse en parlant donc de transhumanisme. Un sujet certes peut être moins vendeur et "honorable" que son homologue de 1995, mais au moins tente t'il le coup.
Certains disent encore que ce film arrive finalement trop tard ! Depuis GITS 1995, d'autres films de SF ont contribué au genre : Matrix, Bienvenue à Gataca, etc. Et à la vision de ce GITS 2017, je ressens clairement une vision nostalgique d'un fanboy ayant la quarantaine, et essayant de refaire des films de son enfance. Impression encore plus renforcée par une bande son électronique très sensorielle et clairement sous influence "Blade Runnurienne". De même pour l'approche esthétique du film qui utilise le thème même de l'holographie pour développer une cité tentaculaire noyée sous des publicités 3D aussi hautes que ses buildings ! Une approche "graphique" qui rends donc hommage au premier GITS animé avec ses décors naturels de Hong Kong, mais aussi tente de créer un univers propre et presque kitsh, bien plus coloré que son homologue de 1995.
Et c'est ça le truc : le film, le réalisateur, l'équipe artistique tentent des trucs ! Mais avoir du coeur à l'ouvrage suffit-il à créer une âme propre ? Clairement le réalisateur à révisé ses gammes en étalant des clins d'oeil tout au long de son métrage, et même parfois à des oeuvres de "jap'anime" n'ayant rien à voir avec l'oeuvre du GITS original. Croyez-le ou non, mais je suis sûr d'avoir vue une figurante portant l'uniforme de l'héroïne de Kill la Kill !
Plus sérieusement, je pense que ce qui énerve aussi le fan, c'est la démarche même d'Hollywood de "violer" son jardin secret. Et on arrive au paradoxe du fanboy : Il se bat pour démocratiser une passion éreintée par le grand public... Mais une fois que cette passion se démocratise, forcément elle perds à ses yeux toute sa spécificité passée ! Pire ! On ne lui dira même pas merci au fanboy, et ce dernier se sentira finalement dépossédé de la créature qu'il a mis au monde... et qui maintenant à quitté le doux foyer pour aller traîner dehors ! Encore pire : elle se fera enrôler par ceux même qui l'ont dénigré pendant des années, pour oublier son tendre et "vrai papa"...
Et c'est là qu'on en vient au débat du "white washing"... et que je vais balayer d'un revers de la main en vous renvoyant à cette vidéo qui parle bien mieux que moi de cette polémique :
Eh, vous avez pris 5 minutes pour lire mon avis,
vous pouvez bien en prendre une douzaine supplémentaire, non ?
Finalement, que penser du film ?
Impossible de le dire sans parler du désir même de faire ce film.
On peut cracher sur Hollywood et le caricaturer en bouffeur de pognon (comme si à contrario les producteurs japonais étaient des artistes altruistes faisant du dessin animé pour la beauté de l'art et pas du lard), on peut balancer des "y'avait qu'à" sans penser un minimum à la viabilité financière d'un projet. C'est un peu vite oublier que le premier GITS était destiné à un public de niche, propice et réceptif aux scénarios hyper complexes, et surtout qu'il n'avait coûté à l'époque "que" 3 petits millions $ (équivalent à un tiers du budget d'un seul épisode TV de Game of Thrones !). Donc un projet "facilement" rentable, alors que le film live se retrouve avec un budget de 110 millions $ !
La question est alors : doit-on vulgariser à l'extrême pour plaire à tout le monde, et prendre le risque au final... de ne plaire à personne ?
Comme disait le producteur de la série TV de Largo Winch : "je me fous complètement de fâcher les 500 000 fans de la BD, moi je fais des séries TV pour des millions de spectateurs". Un principe déjà appliqué par Marvel pour ses adaptations ciné ( exemple : 100 000 lecteurs réguliers recensés en France pour les comics de Captain America... là ou le dernier Civil War a fait environ 2 000 000 d'entrées... en France là encore !).
Comment enfin retranscrire les codes graphiques d'un dessin animé et sa mise en scène ? Comment rendre gracieux un effet animé en un effet live ? Matrix l'a réussi, Scott Pilgrim aussi, Watchmen également. La chose est possible mais pas toujours évidente. Et en ce sens, le projet même d'un film live de GITS est un défi jonché d'obstacles incroyables... et pour quel résultat au final ?
Pour ma part, ce GITS est une bonne petite série B, généreuse, parfois brouillonne certes. On sent que certaines transitions ont étés faîtes à la serpe. Si certains décors sont grandioses, d'autres font plus téléfilm de luxe qu'autre chose. Quelques plans sont esthétiques (et parfois très inspirés de son homologue animé.. qui lui même inspira Matrix, ne l'oublions pas), d'autres sont plus bruts de décoffrage. Certains disent que ces scènes "inspirés" s'intègrent bien dans un tout narratif cohérent, d'autres affirment que la mise en contexte est foireuse, voir caricaturale. Là encore, je penche pour la première option. Ainsi, on peut se poser la question de voir le verre à moitié plein et non à moitié vide, de se dire que le film est pas mal en soit, ou pas si mal pour du GITS hollywoodien. Un film qui se veut encore une fois généreux, presque comme un fan film content de rajouter de la chantilly sur quelques boules de glaces posées maladroitement dans une coupelle. Ou le simple plaisir de voir un film hommage, nostalgique, paradoxalement encrée dans une actualité scientifique plus terre à terre, moins "onirique", mais un film avant tout sincère. Tout simplement...
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mardi 11 avril 2017
VIDEO DE JOLIES BRINS DE FILLES !
Quand une fan partage une vidéo montrant
mon modeste livre de coloriage disponible aux Éditions Voy'El.
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samedi 8 avril 2017
[COSPLAY] PREVIEW SHOOTING TEKKEN - BLACK LAGOON
Parfois, en allant déjeuner avec un copain (Cedric Drahe ^^), on découvre un lieu unique, ou chaque détail est une histoire, un décor de cinéma au détour d'une avenue parisienne. Et forcément, on demande à la propriétaire si shooter dans un tel fantasme de photographe est possible. Ce fut chose faites ce jeudi 6 avril 2017 ^^
Merci donc à Mao Taku (la modèle), à Masane (Sa sœur qui à réalisé ces quelques photos making of ^^), et bien entendu à Madame Chen, gérante du magnifique restaurant Le Lys d'Or à Paris !
Rendez-vous dans quelques temps pour la publication des photos ^^
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mardi 4 avril 2017
BIG BARDA AND JACK
Dans le cadre du projet de livre hommage à l'immense auteur de comics Jack Kirby, les auteurs du dit ouvrage m'ont demandé de participer en réalisant un fan art.
Déjà un portrait de l'homme me paraîssait éveident, mais comment l'accompagner ?
Pas franchement motivé à dessiner un des 4 Fantastiques ou même Captain America, je me suis rabattu sur la méconnue Big Barda ! Et à voir sa tenue issue d'une des adaptations animées de ce personnage dans le DC Animated Universe, on se demande ben pourquoi je l'ai choisie, tiens !
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